Le Sondage du Samedi: La 1ere fois que vous avez abordé vos soucis de conception avec un médecin…

Sondage réservé aux membres d’un couple concerné par l’infertilité bien sur!
Parce qu’on en a entendu des vertes et des pas mures, que l’urgence des uns n’est pas celle des autres, et qu’empathie et psychologie ne sont pas également répartis parmi les professionnels de santé….Dites nous votre ressenti lors de la 1ere évocation d’un problème d’infertilité au sein de votre couple!
Plusieurs réponses possibles!
Les autres sondages sont .
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Commentaires à propos de cet article (6) :

  1. J’avoue que j’ai toujours été chanceuse niveau suivi (sauf pour mon dernier CECOS mais bon …). On n’a pas eu une batterie de test mais juste le test de hunher qui a tout de suite détecté un souci chez mon homme. Ma gygy (nouvelle gygy vu que je venais de changer de région) m’a directement dit qu’elle n’était pas douée en infertilité et préférait passer la main. On a donc filé en PMA (où on a appris qu’en ma qualité de petite femme solidaire j’étais encore plus stérile que mon mari ! mdr). Et en PMA super médecin qui a vite détecté ma stérilité et nous a dirigé illico en CECOS. Grâce à elles, J’ai consulté pour la 1ère fois la gygy en mars 2010 et à ce jour j’ai déjà eu 2 dons d’ovocyte !

  2. Moi, ça a été en plusieurs étapes.
    La première, arrivée directement en PMA sur les conseils de l’hôpital après 2 GEU coup sur coup et une FC.
    Renvoyée au bout de 5 minutes, je n’avais rien à faire là (à 36 ans), sans aucun examen.
    Ma propre enquête (avec mes gros doutes au fur et à mesure des écho contradictoires (j’avais un utérus bicorne, puis normal, puis une cloison), j’ai découvert que j’étais une fille Distilbène, avec un petit utérus déformé.
    Retour en PMA, de mon propre chef, avec ma nouvelle carte d’identité. Une batterie de bilans sanguin et d’examens, 37 ans, et on m’annonce que c’est limite trop tard. La PMA commence un an plus tard, avec des milliards d’examens à faire, à refaire, et des RV toujours plus loin.
    Une perte de temps, qui, je le vois bien, sera décisive.
    Depuis tout ce temps, j’ai 41 ans, et eu le droit à un transfert d’embryon congelé.
    Parce que chaque étape prend un temps fou (du style, venez dans 3 mois pour prendre un RV (qui sera deux mois plus tard pour débuter un protocole 3 mois plus tard). bref, comment predre son temps et son argent en 2 leçons, et ne pas avoir d’enfant au bout. Ras le bol!

  3. Ma gynéco en or a aussi prescrit un spermogramme, pas seulement des tests pour moi. En recevant les résultats (azoospermie) elle m’a directement donné, outre son empathie, une lettre pour nous adresser à un centre de PMA et des coordonnées de médecins spécialisés.

  4. Rien de tout cela. Des que mon endometriose a ete diagnostique après une coelio j’ai ete dirigee en PMA. Entre le moment ou on a decide d’avoir un enfant et le diagnostic de la maladie, nous n’avons même pas eu le temps de se poser la question de la fertilite: 5 mois a peine se sont ecoules.

  5. pour nous gynécologue de ville… À 37 ans nos premiers essais.. Rien d alarmant pour elle.. Attendre 12 à 24 mois d essais naturels.(pas d’examens, de pds , d echos.. ).. Nous le sentions pas au bout de 6 mois sachant que j étais opk. Après recherçhe on a prit RDv chez un urologue avant la pma. Nous pensions que c était la procédure … Spermogramme et la… la nouvelle ..,OATS. RDv en pma 3- à 4 mois plus tard… et la l’aventure à commncée… 4 Icsi , 2 tec, 1 fc…. 3 ans déjà en pma .. Presque 4 ans depuis,le début de notre désir d’enfant.. Et 40 ans bientôt……

  6. J’étais repartie avec un bilan à J3 et un test de hühner. De moi même j’étais allée voir un gynéco spécialiste en stérilité en cabinet privé. Quand j’ai vu le résultat négatif du test de hühner, je me suis inscrite de moi même à mon 1er centre PMA

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