Le sondage du samedi : la découverte de votre infertilité a-t-elle modifié votre « hygiène de vie » ?

Sondage réservé aux membres d’un couple concerné par l’infertilité bien sûr !

Sondage proposé par Lisette84

Parce que l’infertilité est encore méconnue dans ses causes et dans ses accélérateurs, mais qu’on sait tout de même qu’elle peut être multifactorielle (pollution, toxines ingérées, obésité, perturbateurs endocriniens…),

Face à ce bébé qui n’arrivait pas, et un diagnostic plus ou moins posé d’infertilité, notamment masculine,

Avez-vous pris le taureau par les cornes, conseillés ou pas dans ce sens par votre médecin, et modifié votre hygiène de vie ? Et dans ce cas, quelles actions avez-vous mises en œuvre? (plusieurs réponses possibles !)

Les autres sondages sont .

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Commentaires à propos de cet article (18) :

  1. Pas de changement chez nous, je n’ai jamais été sportive et ne le serait jamais, je ne fume pas, ne boit pas… Mon mari ne fume pas non plus, boit avec modération et n’a pas de souci de fertilité donc à quoi bon l’embêter ?
    Quand je vois que des hommes en FIV n’ont pas d’incitation à stopper la cigarette, je me dis qu’il n’y a rien que nous pourrions faire pour un mieux nous concernant.

    1. Sérieux ?? Mon mari fumait et je peux te dire que ce soit notre généraliste, ma gygy, les docs de PMA, du CECOS, lui en parlaient à chaque fois !!! Il a diminué et a fini par passer à la cigarette électronique (c’est pas arrêter je sais mais il fait des efforts). Moi j’ai presque arrêté, je ne fume que lors de certaines occasions mais les médecins m’ont tanné aussi.

      1. Ben oui je connais un couple qui vient de faire sa 4ème FIV, lui fume (beaucoup quand même à mes yeux) et elle de temps à autre, essentiellement sur ses cycles de pause. A ma connaissance, on ne lui a jamais rien dit à lui…

  2. Un peu pareil que madame hiberne. On avait déjà une vie saine, pas d’alcool, de drogues, de cigarette, un peu de sport, un peu de gras saturé… Cinq fruits et légumes par jour pour moi, si, si, en vrai, enfin, souvent. Et avant la découverte de mon syndrome Distilbene, j’étais déjà anti médoc au maximum, à éloigner les plastiques de mon alimentation, à ne pas mettre n’importe quelle crème sur moi… Bref, l’ideal.
    Tout ça pour le bombarder d’hormones et de compléments alimentaires en PMA…

  3. Tout pareil que Madame Hiberne et Deesselinette. Nous avions déjà une vie saine donc rien n’a changé.
    Et c’est énervant d’entendre toujours parler de cette histoire d’hygiène de vie alors qu’on a tous des contre-exemples dans notre entourage. Des filles qui fument / boivent / mangent n’importe quoi et qui tombent enceintes en un claquement de doigts…

  4. Je ne fume pas et ne bois que très rarement. La seule chose que j’ai modifié, c’est qu’en mode couveuse, pas d’alcool, pas de café. Mon mari lui, le soir où il a appris son infertilité, a arrêté de fumer direct

  5. Moi j’avoue qu’il a fallu la coelio et la phrase de mon chirurgien « si vous voulez une belle ovulation arrêtez de fumer » (je voulais du Clomid qu’il me refusait) pour que je cesse enfin cette addiction, même si mon homme me tannait depuis des années avec ça. Par contre ultra-d’accord avec Gribouillette, quand je vois des copines qui boivent, fument, mangent n’importe quoi et qui tombent enceintes sans même y penser, avec une seule trompe ou deux mois à peine après une péritonite… GRRRR !!!!

  6. Après chaque transferts je suis sous cortisone, 2mg il paraît que c’est « rien du tout ma petite dame », mais moi j’enfle, j’ai de la cellulite partout partout alors une fois la pds négative reçue en bonne et due forme, régime et vie saine, encore plus que d’habitude… Une façon de me ré approprier mon corps sans doute…

  7. Ben moi j’ai redoublé les soirées bien arrosées et la marie-jeanne (mais strictement sans nicotine parce la nicotine est le vrai ennemi) parce que c’était trop la loose… Mais à part ça on a une vie plutôt saine.

  8. Premier pallier d' »efforts » (sport, alimentation, alcool et tabac) au démarrage des essais. Culpabilité énorme à chaque fausse couche pour les quelques cigarettes fumées avant le TG+. Deuxième pallier d’efforts cette fois sans guillemets. Plus de clope, sport au taquet, alimentation équilibrée quasi tolérance zéro pour l’alcool depuis que j’ai appris que mon AMH est dans la norme basse.
    Ceci dit, même avant le premier pallier, notre hygiène de vie était nettement meilleure que celle de nos amis déjà parents ou C1. Alors au fond de moi je sais bien que dans l’histoire, il s’agit surtout de ne plus permettre à la culpabilité de s’installer, et je sais bien que ce ne sont pas ces efforts qui changeront quelque chose. Mais ça peut être le cas pour des gros fumeurs / buveurs / mangeurs (quoique encore une fois autour de nous les contre exemples fleurissent et me foutent les boules).

  9. Même avant la découverte de l’infertilité, pas d’alcool ni de tabac chez nous, très peu de café/thé, pas de cosmétiques (hors shampooing/savon basiques), pas de drogues… par contre pas beaucoup de sport et beaucoup de malbouffe (mais IMC trop faible pour moi et MariChéri pas très gros avec juste un charmant mini bidou douillet) donc des efforts des 2 côtés mais loin du « régime crétois » idéal préconisé par le médecin parce que déjà les années d’infertilité c’est dur alors si en plus il faut se passer des trucs gras et sucrés qui consolent…

      1. C’est exactement ce que je dis à mon doc qui est très au taquet avec la prise de poids en général! Quand j’aurai mon enfant dans les bras j,’aurais mieux à faire que de manger et plus de tristesse à compenser! c’est déjà bien assez difficile comme ça alors je ne vais pas me priver en plus de bonne bouffe (et même de mauvaise….)

  10. Pour nous c’est à peu près pareil! Peu d’alcool, pas de cigarette, on était même plutôt bio ! Donc pas de soucis de ce côté là. Mais ça, c’était avant … Avant les FIVs, les échecs et les larmes à répétition! A présent après les résultats négatifs, bien souvent, on sort se « changer les idées », boire un mojitos ou deux, se faire un resto avec les copains pour éponger les larmes. En gros ce sont les FIVs qui vont finir par nous rendre alcooliques !!! Le comble!

  11. Quand l’homme s’est révélé OATS, on a mis en place de nouvelles règles! Plus d’Ipho** dans la poche de pantalon, plus trop de café, plus de calecons serrés, prise régulière de Vitamines (Betaselen), on a limité notre conso de produits chimiques etc. Bon, en vrai ça n’a pas servi à grand chose, mais on a l’impression de « faire » quelque chose …

  12. De notre côté on avait déjà une vie saine avant l’annonce de l’infertilité : sport régulier, bouffe équilibrée avec beaucoup de fruits et légumes, beaucoup de produits bio. Mon mari ne fume pas et ne boit pas, moi je buvait un verre ou deux très rarement, une fois toutes les 3 semaines. J’avais repris la cigarette, mais peut-être dix maxi par semaine. J’ai arrêté direct quand le verdict de l’IO est tombé. Mon mari ne met plus son portable dans sa poche, ni son ordi sur ses genoux, et prend la température de son bain avant d’y entrer (il ne doit pas dépasser 36 degrés). Pour lui je ne sais pas si ça a joué, mais il est passé de 6% de formes typiques à 14%. Depuis des années on utilise que des cosmétiques et produits d’hygiènes certifiés bio, sans paraben et tout le reste.
    Ce qui est étrange, c’est que j’ai l’impression qu’ici tout le monde a une vie plutôt saine… On dit souvent que l’hygiène de vie altère la fertilité, mais là je vais commencer à me poser des questions… Beaucoup de gens autour de moi qui ont des enfants sans problème picolent, fument 2 paquets/jours, ne font pas de sport… GgggrrrRRR….

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