OPK : On Prend des Klakes

Je vais vous raconter mon histoire ici, car je n’ai pas le courage de tenir un blog.
Tout commence à l’adolescence à 14 ans (en 2000) : mes premières règles. Ça a commencé par des cycles « nets » (j’entends par là, normaux, avec des règles pendant 4-5 jours) d’1 mois, puis 2 mois, puis 3 mois, puis très rapidement, je n’avais que du spotting durant 3 semaines (la barbe à l’époque!!) 1 semaine de répit et re-belote.
A 15 ans, je vais voir pour ma première fois une gynéco, car j’en avais ras la casquette de ces spotting. Je me souviens du RDV comme si c’était hier, elle m’a dit « ouh là! Mais vous êtes poilue ! Je vous met sous Diane 35 (si j’avais su…) pour régulariser tout ça ».
En effet, avec Diane 35, des cycles de 28 jours, avec 4 jours de règles. Je me dis « ça y est tu es enfin une femme!! »
En 2002, ma sœur (qui avait 24 ans) et son chéri essayaient d’avoir un enfant (pendant 1 an et ½). Elle avait des cycles de 1 à 3 mois « nets » (en clair pas de spotting comme moi) et elle se faisait des injections (je ne sais plus lesquelles) pour stimuler ses ovaires. Lors du suivi échographique, les médecins se sont aperçus qu’elle avait développé des kystes aux ovaires, elle se fait donc opérer en urgence.
Et ils remarquent qu’elle avait, en plus des kystes, une coque blanchâtre autour de ses ovaires, et lui font dans la foulée un drilling ovarien. Elle « tombe » (j’ai jamais compris pourquoi on disait tomber) enceinte en moins de 3 mois sous la couette (pour la petite histoire, elle en a eu 3 au total avec 2 ans d’intervalle chacun, que des bébés couette en C1 ou C2).
Ma sœur me prévient « J’ai le syndrome de Stein-Levental (quel nom barbare pour dire OPK), c’est héréditaire, fais toi contrôler avant de vouloir des enfants ».
Comme Internet n’était pas aussi développé qu’aujourd’hui, je fonce chez la gynéco, en panique. Elle me prescrit une échographie pour contrôler tout ça, et le seul verdict qui en tombe « vous avez de gros ovaires, on verra ce qu’on fera quand vous voudrez des enfants ». Mais toujours pas de diagnostique d’OPK…
Puis en 2003 et 2004, pour diverses raisons, j’arrête la pilule. Ça a été pour moi 2 ans d’aménorrhée = 0 règles, c’était le rêve absolu à l’époque.
En 2005, je rencontre mon chéri, j’avais 19 ans, lui 23.
Je reprend la pilule, puis j’en change 1 fois ou 2, et la dernière était micro dosée, je n’avais plus du tout de règles pendant 1 an et demi.
Après nos études et avoir trouvé chacun un travail, j’arrête la pilule en décembre 2010. J’avais 24 ans, mon chéri 27, je me dis « je ferais mieux que ma sœur, je tomberais enceinte dans l’année » (avec le recul, qu’est ce que j’ai pu être c*n*e, le défi qui sert juste à se bloquer psychologiquement).
Comme on venait de déménager, je cherche sur les pages jaunes au hasard un gynécologue le plus près de chez nous. Parfait, j’ai un RDV pour la semaine suivante, je vais pouvoir faire un peu le point, sachant mon passé.
Je suis ravie, le courant passe bien avec gygy, je lui raconte tout, et il me dit « vous tombez très bien, vous êtes dans un centre PMA ici, on peut vous prendre en charge si besoin ». Il me fait une écho, et me dit « vous avez effectivement une dystrophie ovarienne, vous pouvez très bien être enceinte naturellement, on se revoit dans 3 mois ».
Mars 2011 : toujours pas de règles ni enceinte, je retourne le voir, même discours, « revenez dans 3 mois ».
Juin 2011 : idem, « je vous prescrit les examens, pour vous et pour votre conjoint ».
Je fonce tête baissée, j’avais toujours en tête mon défi plus qu’idiot.
Et là, je me prend une énorme claque (que dis-je, un coup de poing en pleine poire) de la part de mon chéri (la 1ère) : « c’est toi le problème, jamais je ne ferais les examens, ils faut que tu ai des règles, il est vraiment nul ton gynéco » et BIM!!
Juillet-Août 2011 : mon été sera rythmé par Duphaston et les examens, dont la radio des trompes l’hystéro-machin-truc, qui m’a valu une nuit blanche à me tordre de douleur alors que je m’occupais de mes neveux et nièces le jour même et lendemain. Heureusement, RAS du côté des trompes, il y avait « seulement » le diagnostique OPK.
Sept. à Nov 2011 : Malgré l’absence des examens de mon chéri, je fais 3 cycles Duphaston + Clomid + Ovitrelle, tous négatifs (3 claques de plus), je n’ai eu droit qu’au bouffées de chaleurs dues au Clomid et aux douleurs pendant les rapports. (En novembre, on se pacs et on achète une maison à rénover, on a démarré les travaux dès qu’on a eu les clés).
Décembre 2011 : on emménage dans la maison, au milieu des travaux…
Janvier 2012, chéri se décide enfin à faire ses examens, il redoutait plus la prise de sang que le spermo, tout est OK.
Mars 2012: drilling ovarien, sous celio, 3 semaines d’arrêt maladie, à me tordre de douleur (je dois être une chochotte, c’est pas possible).
Mai 2012 : 1er cycle naturel depuis plus de 10 ans, avec ovulation !! La grande classe !! Je l’avais bien sentie il y a eu les rapports au bon moment, mais c’était négatif (et une claque de plus, une)…
Juin 2012 : visite post-opération avec gygy PMA :
« 3 options : soit vous êtes enceinte dès le prochain cycle; soit vous continuez à avoir d’autre cycles spontanés, dans ce cas, on attend 6 mois, si au bout de 6 mois, toujours rien, on fait la FIV; soit vous n’avez pas d’autre cycle d’ici 3 mois, et on fait la FIV » Je ne voulais surtout pas de FIV, car pour moi, la FIV était synonyme d’échec (quand on est c*n, on est c*n).
Juillet 2012 : Spotting, comme à 15 ans. Je relâche toute pression côté projet bébé, je me fais à l’idée qu’il ne viendra jamais naturellement (j’aurais du prendre des actions chez le fabricant de mouchoir tellement j’ai pleuré). Je me penche plus sur les travaux de la maison.
Novembre 2012 : RDV gygy pour la FIV, j’y vais la boule au ventre car je n’en voulais toujours pas. Aux alentours de la date du RDV, j’avais sentie l’ovulation, même avec les rapports au bon moment, c’était négatif (encore une claque).
Décembre 2012 : RDV avec le biologiste, le courant n’est pas passé, mais après renseignement sur les forums et les blogs, il est réputé pour être assez inhumain. Il nous prescrit de nouveaux examens, et on a le feu vert (l’ordonnance) pour la FIV.
Avril 2013 : J1 démarrage Cétrotide et Gonal le lendemain, s’en suivent les écho et prises de sang (je ressemblais à une toxico !!). J’ai mal au ventre, les échos révèlent une très légère hyperstim, mais on continue, je déclenche avec Ovitrelle.
Le jour de la ponction, on nous avait prévenu qu’il n’y aurait pas d’anesthésie générale, j’ai eu droit à divers relaxants la veille et le jour même, avec une piqûre dans la fesse de morphine, je planais mais j’avais toujours mal au ventre. On m’emmène dans la salle de ponction, on me prélève 14 follicules. La douleur était horrible, j’ai sentie les 14 prélèvements, ça a du duré 10 minutes au total, mais ça m’a parut une éternité. L’infirmière et la gynéco ne s’attendaient pas à ce que je sois aussi bruyante (j’ai pas pu me retenir, en plus chéri était en dehors de la salle de prélèvement, il stressait beaucoup car les murs n’étaient pas épais). Bref, avant de sortir, j’ai le résultats : 4 ovocytes murs, fécondés dans la journée. Je me suis dis que c’était mort cette fois-ci, car ma cousine avait fait plusieurs tentatives de FIV. A chaque fois, on lui prélevait au minimum 10 ovocytes murs, il y avait 10 embryons, mais aucun n’arrivaient au stade du blasto. Moi, avec mes 4 pauvres ovocytes, je me suis dit, c’est même pas la peine d’y penser.
Peu de temps après, le labo m’annonce 2 embryons de 4 cellules. NIKEL!!
Le jour du transfert, on m’en transfert 1, l’autre sera congelé au stade du blasto.
Le médecin m’arrête 2 semaines, car l’hyperstim est insupportable, avec restriction d’eau et régime sans sel (vous avez déjà mangé du pain sans sel ? franchement, c’est dégueu).
10 longs jours après le transfert, test pipi +++, mais je le garde pour moi, je préfère attendre la prise de sang, qui se révélera positive également.
Je suis aux anges, malgré mes atroces douleurs de l’hyperstim qui n’ont pas diminuées.
Je savoure à fond chaque moment de cette grossesse, surtout la poitrine généreuse bien que douloureuse, et la perte de poids (-3 kilos en 15 jours) dues aux nausées.
7 juin 2013 : Mais la descente aux enfers ne s’est pas fait attendre, après un décollement placentaire, l’embryon s’est arrêté de se développer (méga claque), je subi le curetage et je n’ai plus d’espoir, plus envie de rien, dégoûtée de tout. Gygy est confiant « pour nous ça a été une réussite, l’embryon s’est accroché, mais c’est la faute à pas de chance, il n’était pas viable, RDV en septembre pour le TEC ».
Aujourd’hui, j’ai repris mes 3 kilos, j’ai démarré le traitement Provames + acide folique + kargedic (puis utrogestan dans quelques jours) pour avoir un « retour de couche » avant de démarrer le traitement pour le TEC. Je n’y crois pas du tout, je sens que l’embryon de survivra pas à la décongélation, je fais le traitement par ce que c’est facile et que ça ne fera pas mal, mais sans penser une seule seconde que ça puisse marcher, car je ne veut pas revivre la fausse couche.
Dans toute cette histoire, heureusement que ma famille et belle-famille (surtout belle-maman qui m’appelais tous les jours) sont là pour me soutenir, j’en ai vraiment besoin. Je me suis éloignée ou je n’aborde pas le sujet avec les personnes qui, je suis sure, ne comprendrons rien. Pour chéri, je sens qu’il ne vit pas l’histoire comme moi. Il a très envie d’un bébé, ce projet qui nous unit pour la vie, mais comme ce n’est pas lui le « problème », il s’en détache beaucoup plus facilement que moi.

Commentaires à propos de cet article (49) :

  1. Je suis également OPK, comme toi. C’est la première fois que j’entends parler de syndrome de Stein-Levental, je n’avais jamais lu ni entendu ça nulle part !
    Pour ta conclusion, tu sais les hommes ne vivent pas les choses comme nous, je suis sûre que ce n’est pas à cause du fait que ce soit toi le problème, ça n’a pas d’importance ça. Je sais que mon mari est assez détaché de ça aussi, il avance pas à pas sur ce chemin sans se poser de question mais cela n’a rien à voir avec le fait qu’il n’ait pas de souci lui même. Ce sont des hommes, ils sont comme ça.
    Dans ton parcours je suis tout de même étonnée que tu sois passée direct en FIV sans avoir tenté les IAC… Sais-tu pourquoi ?
    Toutes mes pensées pour le TEC à venir.

  2. merci pour ta réponse, non je ne sais pas pourquoi ils ne m’ont pas parlé des IAC, mais je crois que c’est peut-être pas si mal. En lisant plusieurs infos sur le net, j’ai remarqué que les IAC avaient une chance de réussite plus faible que les FIV.
    Je vais voir ce qu’ils vont me dire si le TEC ne marche pas…

    1. Oui c’est environ 15% de réussite une IAC mais c’est un parcours qui est proposé quand l’infertilité est féminine, les couples qui vont directement en FIV sont plus généralement ceux pour qui l’homme a peu de spermatozoïdes.
      J’ai quand même lu il y a peu que seuls 50% des couples ont une réussite en IAC, c’est vrai que ce n’est pas mirobolant.

  3. Je suis également OPK, les claques, on connait aussi, la dernière date d’il y a moins d’une semaine.
    On nous a proposé des IAC en première intention car le traitement est moins lourd, les chances de réussites sont seulement de 15 % par cycle. On s’est donné cette chance mais cela prend du temps, avec des ovaires comme les miens, même avec les injections, il a fallu 6 mois pour faire seulement 2 IAC qui n’ont pas fonctionné.
    Donc passage aux FIV. On devait faire la première ce mois ci, mais une claque de plus, le décapeptyl n’a pas fonctionné, la faute à mes ovaires …

    1. Enfin première intention c’est pas le bon terme car avant on a du faire 12 cycles de Clomid sans aucun résultat … C’est long !

        1. Oui … Mais avec 3 gynecos différents, le deuxième abusait de ma confiance et ne voulait pas changer pour passer aux injections. Il me prenait + de 200 euros / mois … Il y a un an j’ai enfin décidé de changer de gynéco et depuis je ne regrette pas même si c’est toujours aussi long mais pas vraiment pour les mêmes raisons.

          1. C’est n’importe quoi !! Clomid au delà de 3 mois ça ne sert strictement à rien surtout quand on sait les risques aggravés de cancer qui lui sont dus.

          2. Eh oui mais on fait confiance … au fond de moi je savais qu’il fallait passer à autre chose mais je n’avais pas le pouvoir décisionnel, sauf de changer de médecin. Surtout que le clomid fonctionnait 1 cycle sur 3 au mieux.

  4. Opk aussi par ici. Ce qui me surprend, c’est le fait qu’on ne te laisse pas le choix de la sédation pour la ponction. Comment traumatiser quelqu’un? Comme si on n’avait déjà pas suffisamment de stress à gérer… Bref, je te souhaite que le tec fonctionne !!

  5. Courage. Après une fc on pense toute ça. On y va à reculons, on a peur que ça recommence. Pour ton homme, j’ai le même et pourtant il est OATS donc « concerné ». Juste qu’il vit ça sereinement (plus ou moins). Tu as pensé à consulter ? Il y a pas mal de psy en PMA, il ne faut pas hésiter, ça permet justement de parler à quelqu’un qui sait de quoi tu parles.

  6. Merci pour vos commentaires!
    @MadameHiberne: merci pour les infos, je savais pour le 15%, mais pas les 50%..
    @Libellule_nc: sacré parcours!! Je comprend les claques!!
    @Julys974: oui, j’ai appris que dans d’autre centre, c’est AG obligatoire, en tout cas, c’est ce que je demanderai si je dois en refaire une.
    @tittounett: j’y ai pensé à aller voir un psy, mais je ne les supporte pas, non pas qu’ils soient incompétents ou autre, c’est juste que je me sens hyper mal à l’aise de parler de mes soucis à un inconnu.

  7. OPK ici, avec aménorhée primaire (pas de règles ni à 14, ni 15, ni 16, ni 17 ans… donc passage sous pilule et diagnostic). Je n’ai pas eu de drilling, et me demande bien pourquoi. Par contre j’ai eu des stimulations et iac, et me demande bien pourquoi tu es passé aux fic directement ? J’imagine que c’est une histoire d’hormonologie et de de gygy… En tout cas je pense bien à toi, et merci pour ton témoignage. Bises

    1. Avant de faire le drilling, gygy m’avait proposé soit la FIV soit le drilling, mais il ne nous a jamais parlé d’une autre technique (à part que ça puisse marcher en « faisant du poney »)

  8. Opk aussi pour moi … des années sous hormones ! pour faire venir mes cycles… des gynécos, des endocrinos, des scanners , de l’androcur ! du diane 35 … mais rien n’y faisait… j’ai tout laissé tomber, après qu’un gynéco m’ai dit étant plus jeune  » ce n’est rien on vous fera une electro stimulation des ovaires « .. ah bon ? juste ca ? et je serais enceinte ? « ouii ouiii venez au moment voulu »…. !!
    eh bé !! j’en reviens des phrases des uns et des autres..!!! quand j’y pense… Pour le drilling je n’en ai jamais fait.. j’en ai parlé à mon gynéco PMA, qui m’a dit « vous savez lorsque l’on fait la ponction, on fait déjà un drilling… »

    1. une electro stimulation des ovaires??? J’en ai jamais entendu parlé, ça consiste en quoi?
      Pareil pour le drilling, c’est bizarre qu’il t’ai dit ça, parce que le drilling perfore la coque autour des ovaire, quand la ponction a lieu, les ovocytes, il me semble, sont les follicules qui ont mûri et donc qui ont réussi à sortir de la coque. Peut-être que je me trompe…

      1. Honnêtement ? quand on m’a dit cela à l’époque « électrostimulation des ovaires » je pensais une bagnole dont la batterie est en panne ! deux câbles et zippppp !! rire !! mais aujourd’hui !! bah ce sont nos stimulations tout simplement !!
        Oui mon gynéco me disait le fait de chercher les ovocytes on pique là et là … donc cela à le même effet… grosso modo …

  9. C’est quand même dingue de lire tous les parcours différents, toutes les bêtises qui peuvent être dites alors qu’il y a tant de femmes concernées par ce syndrome…

    1. oui, c’est dingue, mais le pire, c’est que les bêtises sortent de la bouche de médecins spécialisés dans le domaine, qui ont fait au moins 10 ans d’études!!

  10. Il faut essayer d’y croire même si c’est difficile.
    J’ai eu la chance d’être enceinte à mon premier TEC…
    Mais c’était pour ma 4ème FIV…
    J’y crois fort pour toi!

  11. OPK aussi pour moi…. en essais depuis un an et demi, et de nombreuses boites de mouchoirs vidées …
    Première IAC annulée : ovulation spontanée pendant la stimulation..
    (Deuxième) première IAC ensuite négative, et là je suis à nouveau sous Gonal pour tenter une nouvelle fois….
    Je collectionne les mouchoirs et j’essaie de me dire que ça marchera, mais c’est dur.. 🙁

      1. Merci !!!
        Nouveau cycle, très douloureux, je vais bientôt recommencer les piqûres en espérant que tout aille bien et que je puisse vite avoir une seconde IAC… je me prépare aux symptomes de la stimulation…

  12. Je suis OPK aussi (mais par contre j’ai des cycles) et j’ai lu ton témoignage avec beaucoup d’attention car je viens de commencer une FIV, c’est la première et je n’ai pas fait d’IAC avant non plus. Mon centre a la réputation de passer en FIV direct, à partir du moment ou l’infertilité est « expliquée », que ce soit masculin ou féminin. Le gynéco m’a clairement dit que les IAC ne seraient qu’une perte de temps, car on est limité dans les doses pour éviter les grossesses multiples, et donc c’est trop laborieux pour avoir une ovulation correcte, et pourcentage de réussite trop faible. A côté de ça, j’ai une copine OPK (ailleurs) qui commence les stimulations simples, sa gynéco lui a parlé des IAC si ça ne marchait pas, et « Oh la FIV, on n’y est pas encore, c’est en dernier recours !! ». Bref chacun sa méthode… Sinon chez moi le biologiste est très particulier, j’ai le même traitement que toi et pas d’AG non plus. On est peut-être au même endroit. Je ne comprends pas leur choix de ne pas faire d’anesthésie pour la ponction, de ce que je lis ça a vraiment l’air horrible et je flippe bien. Merci pour ton témoignage en tout cas. Je te souhaite de tout cœur que ton TEC fonctionne.

    1. Je suis d’accord avec toi: c’est d’un autre temps !! Ça fait penser à l’époque où on opérait avec pour seule anesthésie une bonne rasade de gnole, sauf que vous, vous avez même pas droit à la gnole !! Je pense que vous devriez poser la question à votre centre. À priori, l’intervention a lieu en milieu hospitalier, non? Dans ce cas, il doit bien y avoir un anesthésiste qui traîne dans le coin, à moins qu’ils soignent tous les maux « à l’ancienne »?!

      1. oui, s’il y aura une prochaine FIV, je demande une AG direct, s’ils ne veulent pas, je leur dit TCHAO Bye Bye!!

    2. merci pour ton témoignage et je crois fort les doigt pour que cette FIV marche!!!
      Pour l’AG, il nous avait expliquer que l’anesthésie locale était mieux supportée que l’AG, c’est pour ça qu’il ne faisait plus d’AG. En fait, j’étais surtout shootée, je voyais le monde en rose (je crois que j’ai même dit à l’infirmière qu’elle était très gentille avec moi, lol, mais c’était avant la ponction), mais l’anesthésiant n’a pas marché sur moi, dommage.
      Pour la douleur à la ponction, ça dépend de chacune, s’il y a une hyperstim (ce que je ne te souhaite surtout pas) ça risque de picoter fort.
      En général, d’après ce que j’ai pu lire à droite et à gauche, la ponction sans AG est relativement bien supportée.
      Je suis une très grosse douillette, je n’aime pas qu’on me pique, je préfère me faire les injections toute seule, tranquillement, car je trouve que les infirmières sont trop brusques, pareil pour les PDS, mais là j’ai pas le choix…
      Question douleurs, personnellement, la FC est « n°1 sur le podium » (intensité 10/10, durée 10 h), la radio des trompes en n°2 (intensité 7/10, durée 24h) et la ponction en n°3 (intensité 10/10, durée 10 min).
      Ne flippe pas avant l’heure, s’il faut, ça se passera super bien pour toi (ce que j’espère)
      Je suis à SJL à TLS, toi aussi?

    3. C’est absolument anormal de ne pas faire d’AG (ou une anesthésie locale) par principe. Qu’on considère le bénéfice/risque/douleurs pour 2 ovocytes à ponctionner je peux comprendre, mais que d’emblée on ne la prévoit pas c’est vraiment ne pas tenir compte de la souffrance des patientes. Encore des médecins qui n’ont pas expérimenté eux même une intervention de ce type sans anesthésie… Surtout qu’ils oublient de préciser que ce n’est pas d’UNE ponction dont on parle mais d’autant de ponctions que d’ovocytes! Personnellement, avec 16 ovocytes prélevés lors de ma FIV1 heureusement que j’étais sous AG, à postériori je tremble de ces 16 ponctions (qui traversent le vagin à chaque fois tout de même!)

      1. La gynéco et l’anesthésiste m’ont aussi dit qu’il y avait de meilleures chances de récolter + d’ovocytes sous AG car la patiente ne bouge pas.

  13. Bonjour Franchute,
    Je tombe par hasard sur ton post (en faisant en recherche sur la contraception pour les OPK)… et voilà, je me dis que je ne peux pas passer ici sans te laisser une note d’espoir !
    Comme toi, je suis opk. Avant de prendre la pilule à 17 ans, aucun signe : règles régulières malgré des cycles de 35 j environ. RAS pendant les 13 ans sous pilule. J’ai arrêté à 30 ans, en Octobre 2009, pour tomber enceinte… et pas de règles.
    Je vais te résumer la suite du parcours, sinon, il y en a pour 10 pages !
    Je consulte ma gynéco qui me fait faire un bilan hormonal assez succinct, puis une écho. Son diagnostic : vous avez les ovaires dystrophiques. Elle me met sous Clomid et Duphaston, sans aucun contrôle. Mes règles reviennent.
    Je déménage, et je décide de consulter un gynéco de PMA car le suivi de mon ancienne gynéco me semble bien léger, au regard de ce que je lis sur le net… et que je pense bien avoir des opk.
    Juillet 2010 : consultation chez le gygy de PMA qui confirme : syndrome des opk. et surtout, il est horrifié d’apprendre que j’ai eu du Clomid pendant presque 6 mois sans suivi. On recommence à zéro. Bilan de mon chéri : RAS.
    Le clomid fonctionne très bien sur moi : j’ovule et j’ai des règles. Je reprend confiance !
    et je tombe enceinte fin Octobre 2010.
    Un bonheur de courte durée car très vite j’ai de petits saignements… je file aux urgences, on suspecte une GEU mais pas sûr. Ils me feront revenir 8 fois en 15 jours, avec des prises de sang à chaque fois qui confirment l’arrêt de la grossesse. Sans arrêt de travail, et avec des déplacements pros : très humains dans cet hôpital…
    Il faut que je demande le 10 Novembre que l’on me donne de quoi provoquer la fausse-couche car rien ne se passe. Le 11 Novembre, mon tout petit bébé part.
    Je vais mal, nous sommes très tristes tous les 2.
    Mon gynéco lui, me présente les choses sous un angle optimiste : j’ovule et je tombe enceinte « facilement ». il n’y a pas de raison que je ne tombe pas à nouveau enceinte.
    On recommence le Clomid, puis je passe sous piqûres.
    Je retombe enceinte fin Mars 2011 ! Echographie à 5 SA : nous voyons notre petite crevette et entendons son coeur battre ! je me dis que cette fois, c’est la bonne ! que nous n’avons pas eu de chance jusque là mais que, ça y est, nous allons être parents !
    Tout se passe bien, je sens quelques signes de la grossesse mais pas de désagréments.
    RDV chez l’obstétricienne qui suivra ma grossesse le 9 Mai 2011. On y va tout heureux à l’idée de voir notre bébé, d’entendre son coeur et de voir à quel point il a grandi.
    Et là, elle nous annonce que le coeur du bébé ne bat plus, que cela fait 3 ou 4 jours qu’il a cessé de vivre… énorme claque ! Nous ne nous y attendions pas du tout…
    Je sombre. Mais je réagis et demande s’il y a un psy au centre de PMA. Oui, et je prends RDV de suite car je sens que je vais perdre pieds.
    Le 11 Mai, je subis un curetage sous AG. Je pleure sans cesse, je souffre horriblement et me sens vide.
    Au 1er RDV avec la psy, je me suis demandé ce que je faisais là. Elle ne pose quasi pas de questions, et moi je ne sais pas quoi dire. Je passe l’heure à pleurer. Mais j’y retourne, et ça me fait beaucoup de bien. On fait une séance avec mon chéri, et cela m’aide à comprendre qu’il souffre tout autant, mais en est déjà à un autre stade, et que son rôle à lui est de m’épauler et m’aider à aller mieux. Cela m’a beaucoup aidée à ne pas lui en vouloir, à ne pas croire qu’il ne souffrait pas autant que moi.
    Mon gynéco de PMA me dit qu’il vaut mieux restimuler de suite, pour éviter que mes ovaires ne se bloquent et fassent des kystes. Comme je ne me sens pas de repartir dans les piqûres et les x rendez-vous, on repart sur Clomid.
    Au rdv suivant, on voit que Clomid n’a rien donné. Il ne faut pas laisser mes ovaires comme ça alors je recommence les piqûres. Pour moi, c’est juste histoire de ne pas tout bloquer, et je ne crois pas à une nouvelle grossesse.
    La stimulation fonctionne, et on m’annonce un follicule à J39 (je crois… c’est que ça date !).
    Et… je tombe enceinte !
    Là, pas vraiment de joie. Un gouffre devant moi : j’ai peur d’une 3e FC… et suis-je prête alors que je suis encore sonnée sous le coup de la perte de notre bébé 2 ?
    La psy me dit que si je n’avais pas été prête, je ne serais pas tombée enceinte. ça m’aide à aller de l’avant.
    Le 12 Juillet 2011, j’ai rendez-vous avec mon gynéco de PMA pour l’écho à 5SA. Mon chéri et moi sommes très tendus… on a peur d’une mauvaise nouvelle.
    L’écho commence… et je me rends compte de suite qu’il y a 2 poches ! et je m’exclame : « il y en a 2, il y en a 2 ! » ! Le gynéco vérifie tout, et m’annonce qu’effectivement il y a bien 2 poches, et 2 bébés… et nous entendons leurs 2 petits coeurs qui battent.
    RDV à un peu plus de 2 mois chez ma gynéco obstétricienne : tout va bien !!!
    Nous n’oserons être heureux qu’après la 1ere écho officielle mi-août 2011.
    Après une grossesse bien difficile (mais c’est une autre histoire !), nos puces sont nées par césarienne le 15 Février 2012, à 38 SA : 48 cm et 3,00 kg, et 50 cm et 3,08 kg. Le record pour ma gynéco !
    Aujourd’hui, nos filles ont 20 mois, sont en pleine forme et pleines de vie.
    Notre parcours a été long et douloureux. Mais quand je les vois, je sais quelle chance j’ai.
    Et je reste persuadée qu’après avoir traversé ces épreuves, je suis bien plus heureuse d’être mère que toutes celles qui n’ont eu aucun soucis.
    J’espère que mon parcours te rappellera qu’il y a de l’espoir, et qu’au bout du chemin, il y a un bonheur immense.
    PS : le psy, je te conseillerai d’essayer, mais vas voir celui de la PMA qui connaît tout ça. moi, ça m’a vraiment aidée (alors que je suis plutôt « contre » les psy…). A faire mon deuil de bébé 2, et à faire de la place pour ces 2 bébés qui poussaient en moins, à comprendre que j’étais prête à être maman.

    1. merci pour ton témoignage qui me redonne espoir!! c’est vrai que ton parcours est très loin d’être tout rose, je te dis chapeau! Moi, je commence à reprendre espoir, je me dis que le TEC peux éventuellement marcher!!

      1. Autour de moi, 5 couples « infertiles » (pas pour des opk).
        2 couples qui ont eu 1 enfant chacun par IAC (1ere tentative pour l’un et 2e tentative pour l’autre).
        2 qui ont aussi eu des jumeaux, par FIV (pour les 2 : problèmes de dysovulation, et tératozpermie pour l’un des couples). Pour l’un des couples, échec des 2 premières FIV, et TEC réussie. Pour l’autre, réussite de la 1ere FIV… Pour ces 2 couples, il y a eu stimulations simples d’abord, puis IAC, puis FIV.
        3e couple en cours de protocole FIV (dysovulation + grosse endométriose). Echec des 1ere et 2 eme FIV… A suivre !
        Voilà, sur les 6 couples (dont le mien), 5 sont déjà parents (au bout de 3 à 5 ans).
        Alors oui, accroche-toi !
        Les médecins ne tenteraient rien s’ils estimaient ton cas comme désespéré 😉
        N’oublie pas de « vivre ta vie » autant que possible… quitte à te forcer parfois ! ménagez-vous des moments à 2, des sorties, des week-ends en amoureux, des soirées avec les copains. Les protocoles sont très durs (et encore plus pour les FIV), alors se changer les idées fait du bien…
        Dis-toi que dans ce parcours, il faut tenir la distance… c’est un marathon, pas un sprint !
        As-tu pensé à l’acupuncture ? pas tenté pour ma part, mais j’ai lu que cela augmentait les « chances » d’IAC et de FIV.
        Et oui, ton TEC peut marcher ! Aie confiance en ce tout petit bout de bébé, et en ton corps. Et imagine la belle revanche que de tenir dans tes bras votre bébé, après cette dure bataille…

        1. TWINS, dis donc tu es la première personne qui je connais qui soit entourée d’autant de couple confrontés à l’infertilité.
          Est-ce que tu leur a parlé du collectif BAMP ? Ne voudrais-tu pas devenir membre du collectif BAMP ?
          SI oui, super !
          Nous attendons ta réponse, merci

          1. Irouwen, je vous ai découvert hier en tombant sur le témoignage de Franchute.
            Du coup, je ne sais pas grand chose du collectif et de ses actions. Alors, je vais prendre rapidement le temps de lire les infos sur le site pour comprendre vos actions.
            Tu sais, quand on a commencé l’AMP, je ne connaissais personne dans mon cas… c’est encore tellement tabou que les gens n’en parlent pas (et quand tu vois les réactions débiles de certains, parfois il vaut effectivement mieux ne pas en parler…).
            Alors promis, je m’y penche ! (mais déjà, ce que j’ai survolé hier, notamment sur la conciliation de la vie perso et de la vie privée quand on est en AMP, m’a beaucoup touchée… et rappelé de mauvais souvenirs !).

  14. Bonjour,
    Je viens donner quelques nouvelles depuis le temps!!
    Alors, ce TEC a parfaitement marché, la grossesse s’est très bien passée.
    Sauf au 7ème mois, le col était raccourci et j’avais pas mal de contractions.
    J’ai accouché (par voie basse) d’un très beau garçon de 57 cm et 4,3 Kg le 22 juillet. 2014.
    Aujourd’hui, 6 mois après sa naissance, toujours pas de retour de couche, alors que ça fait 2,5 mois que j’ai arrêté l’allaitement.
    J’ai pris RDV avec un endoctrino pour un RDC sans duphaston, car je rêve d’un bb2 couette. (c’est beau de rêver, non?)

  15. Bonjour,
    Merci beaucoup pour avoir raconter ton parcours. Ca me remonte le moral.
    J’ai appris que j’avais des kystes aux ovaires la semaine dernière, c’était le cas également pour ma mère. Même si je n’ai que 24 ans et que je ne désire pas encore avoir d’enfant (études, pas d’emploi stable etc), j’ai cette crainte de ne pas en avoir.. Je me suis fait poser en plus un stérilet en cuivre au moins de novembre car je ne savais pas encore que j’avais cette maladie. Je voulais savoir si c’est néfaste de porter un stérilet en cuivre quand on est OPK?
    Merci par avance et merci encore de ton témoignage !!!

    1. Bonjour Pop,
      Je ne pense pas que le stérilet en cuivre te pose souci pour le futur. Mais je n’ai pas fait d’études de médecine non plus…
      Si je peux te rassurer, bébé 2 va avoir 3 mois! c’est un bébé « couette » conçu grâce à l’homéopathie. Si j’avais su que l’homéo marchait, je n’aurais pas fait la FIV pour bébé 1!
      Comme je ne veut plus du tout d’enfant, ma gynéco m’a posé un stérilet hormonal (mirena), mais j’ai des effets secondaires:
      acné, pilosité ++ et saignements permanent 🙁
      Je pense opté pour celui en cuivre si ces effets persistent
      Et toi, tu as des effets secondaires avec le cuivre?

  16. Bonjour,
    Félicitation pour ton 2ème bébé, je suis super contente pour toi!!! 🙂 Qu’as tu pris en homéopathie? Qu’as tu fait pour pouvoir tomber enceinte naturellement??
    L’acné et la pilosité ca vient de notre maladie, moi aussi j’en ai avec une perte de cheveux importante que je n’arrive pas à freiner :(.
    Pour répondre à ta question, j’ai choisi le cuivre pour le fait qu’il n’y ait pas d’hormone. Concernant les effets secondaires, j’ai seulement quelques douleurs au ventre et, bien que je n’ai jamais été enceinte, ca me donne l’impression d’avoir des « contractions » dans le ventre. Mais apparemment c’est du à mes ovaires qui travaillent trop à cause de la maladie. Franchement, pour moi, c’est supportable, d’autant plus, que mes règles ne sont pas plus abondantes qu’avant et que je n’ai pas de saignements entre les règles. Après voila ce sont mes ressentis, je n’aimerai pas t’induire en erreur car chaque femme est différente et ne réagit pas de la même manière, demande peut être à ton gynéco. En tout cas si tu as d’autres questions sur le stérilet n’hésites pas.
    Je trouve ca enrichissant d’échanger comme ca et je te remercie de nous avoir fait partager ton expérience et le fait que tu ait eu des enfants, personnellement cela me rassure beaucoup!

    1. Merci pour ta réponse, oui c’est vrai que c’est intéressant d’échanger!
      Pour l’homéo, la médecin homéopathe m’avait donné un traitement « global » car j’avais la thyroïde et le cholesterol faibles.
      Je m’étais dit « aller, je teste 6 mois l’homéo, pour voir si ça me fait un petit quelque chose »
      Elle avait adapté les doses en fonction des prises de sang et de ce qu’il s’était passé:
      le 1er traitement c’était ça:
      testosterone acetate 9ch 5 gr/jour
      folliculinum 9ch dose 1 dose le dimanche
      thuya occidental 9 ch 5 gr/jour
      chelidonium 20 gouttes 2*/jour
      Puis j’ai eu une ovulation 3 semaines après le début du traitement!!! (détecté avec la prise de température) puis les règles 15 jours après (normal quoi)
      2 mois plus tard: test de grossesse ++!! J’avais beaucoup de mal à y croire! mais j’ai fait une fausse couche à 3 semaines de grossesse.
      L’homéopathe m’a changé mon traitement 1 mois plus tard, elle y a ajouté des compléments alimentaires. C’est, selon elle, ce qui m’a manqué pour éviter la fausse couche.
      thuya occidental 9 ch: 1 dose le dimanche
      folliculinum 9ch dose 1 dose le samedi
      TSH 15CH: 5gr/jour le matin
      Thyroid 8DH: 5gr/jour le matin
      chelidonium composé: 5 gr/jour le soir
      testosterone acetate 15ch 5 gr/jour au coucher
      lutein(corp J.) 5CH: 2 cuillère / jour pdt 10j
      vitamine D
      Vitamines de grossesse
      et 4 mois plus tard, j’ai eu un test de grossesse ++ et qui a tenu 8,5 mois 😀
      N’hésites pas à aller voir un homéopathe quand tu voudras concevoir un enfant, il te donnera un traitement adapté en fonction de tes « paramètres » biologique (prise de sang, tension, thyroïde, etc…)
      Donc, en 7 mois, j’ai eu 1 ovulation, une fausse couche et une grossesse qui a tenu! C’est un bien meilleur résultat qu’en PMA, et surtout l’homéopathie n’est pas aussi contraignant que la PMA (pas de piqure, pas de prise de sang tous les 2 jours, pas d’échographie tous les 2 jours, aucune douleur, aucune prise de tête)
      Et toi, tu avais des cycles réguliers avant la pose de ton stérilet?
      Personnellement, je n’avait rien
      à bientot

      1. Bonjour,
        Tu me conseilles donc davantage un homéopathe, qu’un endocrinologue?
        Je ne sais pas comment fonctionne ce site, mais si tu veux qu’on parle en privé ca pourrait être cool!
        J’avais mes règles tous les 3 ou 4 mois et le stérilet n’a rien changé pour moi (c’est toujours la même durée..)
        A bientôt

          1. Bonjour,
            je me pose pas mal de questions (opk également pour moi et un petit bébé de 7 mois suite à une stimulation par piqure en PMA). j’ai eu un retour de couche spontané mais depuis plus rien … j’aimerai tellement faire un bébé 2 sans traitement …alors l’homéopathie pourquoi pas … mais est ce que cela a eu un effet sur les autres symptômes de cette maladie (pilosité, acnés, … ) je supporte très mal ces effets visibles qui me rappellent au quotidien cette infertilité et qui affecte mon estime de moi en tant que femme.
            merci pour votre retour d’expérience …

          2. Bonjour à @NESO,
            Pour moi, les symptômes sont atténués dès que j’ai des cycles ( = ovulation puis règles), que ce soit homéopathie ou PMA.
            En ce moment, je suis sous infolic, car je perd trop de cheveux, j’ai à nouveau des cycles et je ne perd plus mes cheveux!
            Bon courage à toi et tiens nous au courant!

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