Le Sondage du Samedi: Quels ont été les examens immédiatement prescrits au cours de la 1ere consultation relative à votre potentielle infertilité?

Sondage réservé aux membres d’un couple concerné par l’infertilité bien sur!
Ces prochaines semaines, nous allons rentrer dans le vif du sujet de la prise en charge de l’infertilité en France. Plus vous serez nombreux à répondre à nos sondages, plus la photographie des pratiques médicales sera pertinente et plus nous pourrons identifier ce qui va, et qu’il faudrait généraliser, et ce qui ne pas va, et qu’il faudrait améliorer!
Il va falloir faire appel à vos souvenirs pour nombre d’entre vous ! Il s’agit de déterminer si les médecins balayent large d’emblée ou prescrivent très progressivement ces analyses au fur et à mesure de l’avancée des protocoles…
Bien évidemment les cas de chacun sont particuliers, certains couples arrivant après un semblant de prise en charge chez un gynéco de ville, d’autres suite à des fausses couches ou GEU répétées.
Imaginons que nous ayons 200 répondants à ce sondage (ce qui est la moyenne habituelle des Sondages du Samedi), s’il n’y a pas 200 spermogrammes cochés cela voudra dire, qu’alors que l’infertilité masculine est avérée dans plus de la moitié des cas, elle n’est pas systématiquement recherchée en 1ere intention, alors même que l’examen qui la révèle n’est pas invasif!
Donc, quels ont été les examens qui vous ont été immédiatement prescrits au cours de la 1ere consultation relative à votre potentielle infertilité?
Plusieurs choix possibles bien évidemment, mais attention, nous ne parlons de l’ensemble de votre parcours, JUSTE du tout DEBUT de la prise en charge.
Les autres sondages sont .
[polldaddy poll=7536032]

Commentaires à propos de cet article (12) :

  1. Ça fait plus de deux ans mais je m’en rappelle comme si c’était hier. Ordonnance des exams de bases pour lui et moi obtenue par ma gygy habituelle au premier anniversaire de nos essais, le début du cauchemar mais une prise en charge au bon moment je pense, j’avais 30 ans.

  2. Il a suffit du test de hunher pour voir le problème de mon mari sauf qu’au final c’était le mien le plus grave ! lol

    1. Pareil. Elles sont pourries les surprises en PMA.
      D’un spermo moyen et d’un « vous avez toutes vos chances, c’est pas bien grave, une FIV et tout ira bien », on se retrouve quasi en infertilité inexpliquée avant de tomber dans les limbes de l’infertilité immunitaire de mon coté. Type d’infertilité qui semble à peine reconnue en France, quasi pas expliquée, et encore moins traitée.

  3. A la première consult ma gynéco a fait le dosage du 2 ème jour, l’écho et le spermato. Elle a enchainé dès la 2ème consult sur le test de huhner et une exploration des trompes (chez un radiologue). Son diagnostic : stérilité inexpliquée. C’était y a 5 ans.
    J’ai changé de gynéco car elle était quasi mutique pour enchainer sur 4 inséminations sans succès. En fiv j’ai fait un caryotype et une hystéroscopie en plus. RAS. 11 ponctions et une fc plus tard me voilà enceinte.
    Si ça peut servir à d’autres, ce qui semble avoir marché pour moi c’est d’avoir transféré des j2. Avec des embryons de j5 mon endomètre n’est pas synchro et les rejette. Enfin…ce n’est qu’une hypothèse. C’est difficile de savoir ce qui marche vraiment en se basant seulement quelques essais.

    1. interessant ce succes avec un J2, quand on sait que beaucoup, voire de plus en plus, transfèrent des J5 parce que « pour la majorité » c’est mieux. Or je crois que nulle part ailleurs ou presque, en matière médicale, on ne doit faire l’économie de l »ultra personnalisation de la PMA. Ca doit etre de la haute couture, pas du « pret à porter »!

    1. j’avais oublié les courbes de températures ! Quelle corvée ! J’ai du en faire beaucoup au début. Quand j’ai vu un nouveau gynéco pour commencer les fiv il a eu pitié de moi et m’a demandé de jeter tout ça au plus vite.

      1. Étonnant ces courbes de température et le sort qui leur est réservé pour les médecins: certains en demandent comme complément/élément du diagnostic (dans mon cas, mon super gynéco) et d’autres vous rie au nez (ma 1ere gyneco, vite oubliée….)

  4. C’est tellement loin… Bientôt 20 ans !
    Tous jeunes mariés, les sérologie étaient fraîches.
    Donc hystérosalpingographie : ma gynéco de ville me connaissait depuis 2 ans et trouvait anormal que je ne sois pas déjà enceinte. Et 3 mois de courbes de températures.
    Et le spermo je ne sais plus si elle l’a donné en même temps ou au résultat de l’hystéro, sachant que les hommes avaient du mal à l’époque, donc je ne l’ai pas coché.

  5. Il aura fallu un an avant de pouvoir faire des examens de base (ne révélant rien, patientez messieurs-dame, ça va venir vous êtes « normaux ». Puis encore un an entre le spermo « de base » et le spermo « complet », un an pour découvrir la térato. Et comme nous n’avons vécu « que » deux fausses couches, pas d’examens de ce côté là tant qu’on n’en est pas à 3…

    1. rageant ce tatonnement sur les spermogramme. Et puis au final ça coute plus cher ce séquençage, surtout pour arriver au spermo complet au final ! Un spermo ultra complet dès le départ, coté diagnostic et coté finance, ça permettrait de perdre moins de temps, d’éviter certains échecs (en IAC notamment), de faire des économies et de reporter les sous sur l’achat de machines perfectionnées par exemple. Y’a encore du boulot pour améliorer la qualité de la prise en charge…

  6. 1ers tests fait par mon médecin généraliste: le dosage hormonal normal + échographie lors de l’ovulation. Puis elle a prescrit un spermogramme simple. Lors du 1er rdv PMA: hystérosalpingographie, spermogramme avec test de survie et spermoculture, et sérologies pour nous 2

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *