Vidéo de la conférence Doctissimo, Eugin, BAMP – SSI 2018

Dans le cadre de la Semaine de Sensibilisation à l’Infertilité, qui s’est déroulée du 4 au 10 juin dernier, nous vous avions indiqué que la conférence Parisienne  : Les Infertilité(s) serait diffusé ensuite en vidéo.
Nous vous invitons donc à visionner cette vidéo, vous pouvez cliquer sur une des trois images suivantes.
Encore un énorme merci à Doctissimo et à Eugin (et surtout à Elodie Lenoir), d’avoir permis l’organisation de cette conférence.
 
 
 

#SSI2018 #SemaineSensibilisationInfertilité #infertilités

Commentaires à propos de cet article (2) :

  1. Très intéressant.
    J’ai trouvé cette conférence très instructive.
    On ne peux qu’applaudir la démarche et la participation de toutes les structures impliquées.
    Il y avait une vrai diversité et richesse des intervenants. J’ai trouvé l’animateur remarquable.
    Seul point négatif que je me permet de développer, mais qui ne gâche en rien le reste de la conférence: la psychanalyste à la fin, dont je trouve le positionnement vraiment choquant. Evoquant les traumatismes  » de la petite enfance » comme responsables de certaines infertilités. D’une part je demande à cette personne: qu’est-ce qui lui permet d’affirmer de telles choses? Avec quelles preuves ? et enfin pense-t-elle que son approche puisse résoudre les problèmes d’infertilité des couples supposés concernés? et si oui, comment?
    Pour moi de telles affirmations sur l’origine d’une infertilité, ne font que culpabiliser des couples en souffrance, sans les résoudre. Ce qui pour moi, contredit le principe éthique de « ne pas nuire ».
    Et stigmatise les personnes qui auraient pu vivre des enfances souffrantes
    (On peut d’ailleurs aussi malheureusement entendre de telles aberrations de la bouche des psychanalystes sur l’origine de l’autisme ou de la schizophrénie, dont les parents seraient les responsables tout désignés).
    Parents, qui nous auraient donc traumatisés au point de ne plus pouvoir se reproduire?
    Pour sûr l’inverse n’est pas vrai: nombre d’enfants traumatisés n’ont aucun problème de fertilité une fois adultes.
    L’étanchéité de certaines pratiques ou pensées n’épargne pas les psychanalystes.
    Ceci dit, il faut bien distinguer dans mon propos la différence entre psychanalyse et psychothérapie.
    La prise en charge psychologique me semble primordiale dans un parcours PMA, où la souffrance morale est omniprésente.
    Tout cela n’engage que moi, évidemment.
    Pensée à tous les Bampeurs.

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