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Alimentation, hygiène de vie et infertilité. La bonne santé globale et donc une bonne fertilité nécessite d'être informé sur l'impact, la qualité de l'alimentation. L'hygiène de vie, permet aussi de préserver une bonne santé globale et une bonne fertilité. Dans les situations d'infertilité, certains paramètres biologiques peuvent s'améliorer en modifiant votre alimentation et votre hygiène de vie.
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Sondage réservé aux membres d’un couple concerné par l’infertilité bien sur!
Parce que le coming out sur ce genre de sujet n’est pas simple, parce qu’on veut s’éviter des maladresses, ou qu’on ne veut pas gêner notre entourage, ou tout simplement que la pudeur nous en empêche! Et cette fois ci c’est MADAME qui répond! Monsieur, galanterie oblige, ton sondage est pour plus tard!
Les autres sondages sont là.
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Partager la publication "Le Sondage du Samedi: Madame, est-ce que tu arrives à parler de votre infertilité avec votre entourage ?"
Sujet cruellement d’actualité chez moi : j’ai fait mon coming out à mes parents il y a une dizaine de jours. J’ai choisi d’en parler à très peu de personnes, en triant celles à qui le dire va m’apporter qqch, je veux pas d’apitoiement, de phrases à la con ni de personnes qui prendraient mon malheur comme le leur (style ma BM qui serait capable de pleurer sur ses futurs petits enfants….).
En fait, il faudrait un sondage parallèle à celui ci, où il y aurait un côté temporel. Parce que plus le temps passe, plus j’en parle facilement. Au début personne ne savait, c’était très très tabou, maintenant je peux en parler assez facilement à pas mal de monde et peut être que dans un an ( pitié, non) je pourrais très facilement en parler à tout le monde !
Nous avons choisi de n’en parler à personne de proche (famille ou amis), seuls mes beaux-parents, qui vivent à l’étranger, sont au courant, contraints de leur en parler, mon conjoint devant quitter sa maman gravement malade pour faire notre FIV il y a 2 ans de cela. La raison n’est pas une quelconque gêne mais plus d’éviter 1) de leur donner espoir en quelque chose qui ne se réalisera peut être jamais 2) ne pas subir une pression supplémentaire avec les « Alors cette FIV, vous en êtes où ? »… Disons que cela dépend beaucoup aussi du niveau d’intimité que l’on a avec ses proches, si l’on est du genre à se livrer ou pas… J’en ai juste parlé à mon boss pour faciliter mes absences. Les blogs, forums, associations, sont une vraie aide sur ce plan, on peut parler, déballer, tout en sachant que l’on va être compris et encouragée.
Personnellement nous avons fait le choix d’en parler après ma fausse couche intervenue a 12semaines.
Car je trouvais très dur de devoir souffrir en silence, en parler me permet d’être moi même, et finalement les gens réalisent aussi toutes les contraintes et les souffrances dues au parcours AMP.
Et puis cela permet aussi de faire le tri autours de soi….
Tout comme Zapppp, il y a une nette différence entre les débuts il y a 4 ans et aujourd’hui. Et comme Sachka, on a commencé à en parler après le FC.
La temporalité est importante en effet. Pour ma fille il y a 3 ans, je n’osais en parler à personne sauf à mes parents, j’avais un poids pas possible sur les épaules. Ce n’est que suite à la naissance de ma fille que je me suis libérée et ai osé enfin en parler plus largement.
Moi j’en parle pour me justifier et couper court aux questions ou remarques à la noix( qu’est-ce que vous attendez pour faire un petit?). Et puis parce que je trouve ça profondément injuste d’être déglinguée par le Distilbène. J’informe, je milite.
Au début de notre suivi en PMA, j’avais honte et je me sentais coupable, on ne l’avait dit qu’à nos parents et amis très proches. Au fil des mois nos langues se sont déliées et nous en parlons librement. Je n’hésite plus a publier les pétitions ou vidéo à propos de l’infertilité, certes elles recueillent moins de j’aime que mon petit shiba inu mais ça me fait du bien et j’espère que ça fait réagir certaines personnes.
Je suis aussi beaucoup sur les forums comme Automne et le site BAMP qui permettent de communiquer et partager avec des personnes qui vivent la même chose et nous comprennent.
Bonjour à tous et toutes, je rejoins ce qui a été dit plus haut. Maintenant à mes parents et mes amis proches c’est simple comme conversation mais comme ça a été difficile de leur dire au départ à tous. Ma mère était infirmière donc on lui a dit pour qu’elle me fasse les 1ères piqures de gonal. Mais je suis contente qu’il n’y ait pas ce non dit entre nous aujourd’hui.
Apres une année d’essai , on en a parler sans aucune gêne ou honte particulière (à nos famille et amis proches ) puis bizarrement plus les années ont passé (7ans malheureusement ) et plus s’est devenu un sujet tabou pour nos familles dont personne nous parle et si on en parle il n’y a pas specialement d’écoute et surtout on sent bien que nous les mettons mal à l’aise.pourquoi? Aucune idée… par contre ça ne les empêche pas du tout de parler des grossesses des autres sans aucune délicatesse ! Du coup nous n’en parlons plus et vivons tout ça seul.
Dès que nous avons appris l’infertilité nous avons informé nos parents et freres/soeurs. Nous ne pouvions pas continuer à supporter les allusions aux bébés, et nous sommes proches de notre famille. J’en ai aussi informé mes 3 plus proches amis qui sont un réel soutien. Mon mari a informé son meilleur ami car à cause du traitement nous loupions bcp d’évements.
J’ai recemment décidé de faire notre coming out et d’en parler au reste de nos amis proches: que de super réactions dont des gens qui ont connu ça via leur soeur, ou autre.
Je ne regrette pas une seconde car maintenant quand nous serpns en ttt, nous n’aurons plus besoin de mentir, ils ne nous demanderont plus « et alors les enfants??? ». La seule réaction négative a été de la part de ma soeur mais je sais à quoi m’en tenir.
Une personne de notre entourage entait passé par les fiv et n’en avait parlé à personne: son couple a éclaté face à la pression. Alors en parler oui, mais bien choisir ses personnes. L’infertilité ne doit pas être une honte ni un tabou
il faut en parler un minimum je pense aussi, mais pas trop non plus pour ne pas penser qu’à cela, et bien choisir les personnes à qui on en parle, et avec le temps contrairement à d’autres, avec mon mari on a décidé de ne plus en parler à certaines personnes qu’on a trouvé entre autres génées, mal à l’aise avec notre problème d’infertilité, et avec parfois une impression de curiosité malsaine (certaines personnes peuvent aimer relativiser leurs problèmes en voyant des problèmes plus graves chez les autres….) c’est ce qu’on essaie maintenant d’éviter, et qu’un tri des amis s’est un peu fait naturellement. Nous préférons donc maintenant en parler qu’avec des personnes de confiance, mais pas souvent non plus, et passer des soirées entre amis en parlant de tout autre chose, ce qui fait énormément de bien aussi ! Et entendre parler 2 amies de leur grossesse respective et etant elle-meme au courant de notre problème, je trouve cela limite indécent ! La gene des gens peut etre destabilisatante tout comme une spontanéité incontrolée pouvant faire penser à un manque de respect ! C’est peut etre entre autre pour cela qu’une sorte de tri auprès des amis se fait naturellement….
Nous aussi nous en parlions plus facilement au début, peut-être parce qu’on n’avait pas conscience de la longueur possible de ce parcours. Aujourd’hui, on en parle peu et surtout pas en soirée !!! Par exemple, mon père, qui s’inquiétait énormément (quand on sait que pour lui, un petit rien est une montagne à surmonter), n’a pas su pour la fiv 2. C’était une manière de le protéger…
Par contre, on ne s’en cache pas non plus. Si on nous pose des questions, on y répond sans problème mais on aborde moins souvent le sujet de nous mêmes.
Pour ma part, avec Bichon nous parlons d’infertilité en général avec notre entourage, mais moi j’ai du mal à parler de notre cas personnel. Nous en avons parler dès le début, car les questions typiques « le bébé c’est pour quand? » etc, etc … on en avait marre, alors on en a parlé pour clarifier les choses, et calmer les gens avec leurs questions. Récemment, je suis venue à parler d’infertilité avec quelques personnes de ma belle famille, chose que j’avais énormement de mal à faire, car nous trouvions qu’ils manquent d’interêt pour notre parcours. Finalement, je me suis apreçue qu’ils n’osent pas nous en parler pour éviter de nous faire souffrir, et qu’ils préfèrent que l’on en parle en premier. Effectivement je préfère en parler en première, même si c’est très rare car j’ai souvent l’impression que les gens ont une curiosité malsaine, puis je trouve que l’on expose déjà assez son intimité (dans tous les sens du terme) à la pma, alors ce que je peux garder pour moi, je le garde. Pour la fiv 2 nos proches l’ont su bien après, il en sera de même pour la fiv 3, nous ne voulons pas de « pression » des autres pendant mes traitements, et nous retrouver seuls dans notre souffrance, si c’est encore une fois négatif.
Je rejoins damelapin, sur le fait que parfois, on ne se sent pas écouter, donc ça ne donne pas envie d’en parler par la suite.
Parfois, je vis mal e fait de ne pas pouvoir en parler réellement avec mon entourage, de sentir leur interêt pour ce que nous vivons, et d’avoir un oreille attentive à notre souffrance. On doit se cantonner à être joyeux des grossesses des autres, pendant que nous, on souffre, sans pouvoir le dire, ou sans être écouter …
Heureusement que d’autres couples sont soutenus par leur entourage
Mesdames, est ce que ça vaut le coup de demander à vos hommes leur ressenti ou finalement, et c’est ce qui ressort de vos commentaires, c’est une politique de couple, de faire le coming out ou pas, d’en discuter plus ou moins librement.
Les sondages sont souvent issus des observations de mon quotidien, et très clairement chez les LAILALAILO il y en a un qui en parle (presque) à tout va (moi!), et l’autre a quasi personne, d’où l’idée de 2 sondages distincts. Mais est ce bien opportun finalement?
A mon niveau, le second sondage n’aurait pas grand intérêt, c’est une décision commune. Au début il me disait « si on le dit à tes parents, on le dit aux miens ». J’ai blêmi. Puis je lui ai fait comprendre avec l’argument que j’ai pu (oui mais c’est moi le problème là…) afin qu’on ne le dise pas aux siens. Sinon, on n’en parle pas mais pas plus de facilité d’un coté que de l’autre.
Moi c’est clair « suis chef de la parlote à ce sujet » !!!
Clairement les hommes ont du mal à en parler… Au début je forçais la main, je ne comprenais pas… aujourd’hui je respecte… et c’est moi qui en parle si j’en ai envie…
Après 2 sondages distincts peut être utile à mon avis… on a bien eu un sondage typiquement masculin il n’y a pas longtemps… on pourrait continuer pour d’autres questions…